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La Chansgon de Roland
als 1.Lektüre im franzögSiSchen Unterricht.
Von 4. Dietz in Weimar.
Kinige Urteile über das Rolandlied mögen zunächst
hier Platz finden:
Leon Gautier (in Epop6e nationale. Histoire de 18a
Litterature francaise par Petit de Julleville Band 1, 93)
erinnert daran, dass dem Rolandlied das Glück in reichem
Masse widerfahren ist, gleichzeitig überzeugten Be-
wunderern und leidenschaftlichen Feinden zu begegnen.
In Seiner immer WwisSenschaftlichen Begeisterung ruft
Godefroid Kurth aus: „De toutes nos &6popees, 1a Chanson
de Roland est celle qui donne 1a megure 1a plus juste du
genie moderne.“
Nyrop (ein Däne) fügt hinzu: „Tout y est primitif et
absolument denus d'artifice.“ -
L'action, dit-il encore, „s'Y meut tranquillement, et le
r6cit, oü V'on ne cherche aucun effet et oü on ne pourrait
trouver une geüle pbrase ampoulde, est uniquement tiSSu
avec des mots Simples et clairs.“
Pio Rajna, ein Laliener, erklärt, dass: „ne pas C0R-
naitre le Roland, C'est ignorer 1a PoGSie chevaleresque.“
Gaston Paris Sagt: „La Chanson de Roland nous
apparait comme 16 premier et le plus purement national
des chefs-&'ocuyre de Tart francais. ..... un impogant |
monument du genie francais auquel les autres nations
modernes ne peuvent rien comparer, elle 86 dresse, 3
Ventr&e de 1a voie Sacrce ol S'alignent depuis 8 Stecles "les
Jahrbuch d. V. f. w. P. XXXVI. 1